En 2024 veillons…
Mise à jour le 8 septembre 2024
Auteur: Jérôme Bouglé
Les drapeaux Ukrainiens librement érigés, avec bienveillance, sur certains hôtels de ville en Suisse, nous rappellent la vulnérabilité de nos «limites» territoriales et sociétales malheureusement acquises par les conflits armés.
Ce “drap-peau”, ci-dessus, à l’origine Suisse, représente une certaine neutralité. Il est constitué en 2 parties, de l’ensemble des drapeaux des 204 états dans le monde (y compris ceux qui ne sont pas reconnus par l’ONU). Soit :
- dans la partie inférieure [-] les 64 pays actuellement impliqués dans des conflits armés (pour certains d’entre eux depuis 1918);
- dans la partie supérieure [+], l’ensemble des 140 autres pays; en “paix” (?)
Ces 2 parties sont séparées par une 3ème, la “limite blanche”. Cette limite matérialise t’elle une certaine (in)sensibilité de nos sociétés à nous (dé)partager, neutraliser, les uns des autres, comme un “drapeau blanc” ?
Cet ensemble serait-il le résultat de la «profitable» dogmatique, intransigeante, inébranlable, irresponsable, insatiable, malicieuse, cohérente et joyeuse (?) croissance [+] économique artificielle dont bénéficie les uns, au détriment d’une certaine réelle triste décroissance [-] / destruction / pénurie / faillite collective des autres ?
Dans cette logique de croissance économique perpétuelle, personne ne peut s’y soustraire puisque l’insensible croissance du PIB ne les différencie pas. Par exemple, le coût économique pour la reconstruction d’un immeuble, suite à sa destruction durant la guerre, s’y ajoutera, malgré tout le malheur et la pollution de notre milieu qui auront été générés (mais pas évalués / estimés) dans cette perspective de croissance du PIB.
Malgré tout, dans quelle mesure sommes nous Suisses, impliqués et imbriqués à ces conflits ? L’ONU y siège, comme de nombreuses multinationales qui agissent dans ces pays en guerre. Cette épineuse question à été choisie avec ce drap-peau multi-national pour nous y faire réfléchir !
Ce (faux)dilemme (croissance ou décroissance ?) alimenté par ces conflits armés est parfaitement illustré dans l’extrait de cette bande dessinée, ci-dessous; merci à leurs auteurs.
Le contexte du milieu hospitalier (en otage du capitalisme?) n’y est probablement pas choisi par hasard ! Mais comment nous détourner de cette situation inextricable ??? Les règles de ce «jeu» pourraient-elles changer ?
En 2024, réalisons et veillons à prendre la responsabilité de la qualité de notre vie pour être en mesure de prendre soin des autres. L’équilibre fragile dans lequel nos sociétés s’inscrivent et s’épanouissent dépend de ce que peut offrir notre milieu. Rien n’est figé, l’ensemble des règles de notre vie en société démocratique ou pas peut être remis en question pour évoluer en bien comme en mal pour nous et notre milieu.
“Dans la complexité trouvez la simplicité.
Dans la discorde trouvez l’harmonie.
Au milieu de la difficulté se trouve l’opportunité.”
-Albert Einstein-
Alors ré-veillons et rendons-nous en 2024 pour accompagner aussi bien que nous le puissions la paix et la joie dans le monde avec entente, courage, bien-veillance (?) … et imPRication !!!
A celles et ceux qui auront devinés les références de cet extrait de BD (titre, nom des auteurs et tome), veuillez me donner votre réponse via mon formulaire de contact ou par courriel, en cette année 2024. Une sur-prise “Intemporelle” vous attend. Si jamais, pour vous aider, à défaut des IA et des moteurs de recherche, il existe les bibliothèques ou votre mémoire vive 😉
Indices : La BD tire son nom d’un idéogramme signifiant “la mort”, les évènements se déroulent dans 2 époques ; 2 femmes en quête contre un empire ; il s’agit de la page 20 du Tome ? Ne demander pas au Chat… il ne sait pas, à moins que je me trompe… profond!
“Droits de l’auteur” : Si cette feu-naître vous inspire, libre à vous de pouvoir vous y €nrichir $an$ profit unilatéral et m’en “faire-part“
Les formulations induisant un genre in-certain sont à considérer à tou.te.s.x les genres avec nuances et indulgence